lundi 30 septembre 2013

[temps] Aullène > pluie

Il fait 13°C. La pluie d'hier et l'orage de cette nuit nous ont laissé un ciel encore assez chargé, bien que la lune et quelques étoiles soient visibles ce matin.  On attend encore de la pluie aujourd'hui.



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dimanche 29 septembre 2013

Aullène > pluie

Il fait très doux et il tombe un petit crachin régulier depuis 5 heures.


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samedi 28 septembre 2013

Aullène > beau


Il fait 15°C, le ciel est ensoleillé avec un léger voile à l'est. L'orage est annoncé pour demain.



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vendredi 27 septembre 2013

Aullène > beau et chaud

15°C et un beau ciel bleu.


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jeudi 26 septembre 2013

Bon anniversaire

Bon anniversaire à Mathieu de Pizzica'casgiu.



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Bon anniversaire

Bon anniversaire aux jumeaux André et Charlie.




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[Presse] Monacia d'Aullène. Mairie, les Encombrants.


[presse] Monacia d'Aullène > catéchisme


Aullène > beau et chaud

Il fait beau et 12°C.




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mercredi 25 septembre 2013

Votez pour aider l'archéologie

Merci de relayer le message suivant :


"SVP on a besoin de votes pour financer un projet ! En cliquant sur le lien :

https://www.afundazione.eu/projets/Laboratoire-archeologique-Cinarca-et-Deux-Sorru_a76.html

Merci"



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[temps] Aullène > beau

Avis de beau temps sur Aullène.




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mardi 24 septembre 2013

[Nouvelles] Aullène & Alta-Rocca & Corse. Fr Via Stella Documentaire film Fred Scamaroni et Jean Nicoli.

Je rentre à l'instant de l'Espace Diamant à Ajaccio, où j'ai eu le plaisir et le privilège avec d'autres d'assister à la projection du film documentaire Fred Scamaroni et Jean Nicoli, dont le titre est Celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas.
J'invite tout le monde à s'installer devant son poste de télévision vendredi 27 septembre à 20h40, tant ce film nous transporte dans l'émotion et l'a découverte d'une période noire et triste de la seconde guerre mondiale plus particulièrement en Corse mais dans le contexte international d'alors !
Par son méticuleux travail de recherches et son esprit de synthèse, Jackie, a su retracer la vie de ces deux personnes pourtant si différentes et que tout ne pouvait qu'opposer !
Merci Jackie de faire briller ainsi l'histoire de notre Corse et de permettre aux futures générations de conserver la mémoire de nos ascendants. Tous mes chaleureux compliments.

[temps] Aullène > beau

Les premières journées de l'automne ont été estivales : ensoleillées et chaudes ; et il y a plus de touristes qu'au mois de juillet. Ce matin le ciel est étoilé et la température est de 12°C.




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lundi 23 septembre 2013

Vue à 20h05

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[Archives nat.] [BNF] [histoire militaire] Aullène - Angelin Natali, un Aullénois à Sidi-Brahim.


Il y a 168 ans aujourd’hui, le 23 septembre 1845, commençait dans ce qui était l’Algérie nouvellement française, la bataille de Sidi-Brahim entre une troupe française de 426 hommes commandée par le lieutenant colonel Montagnac et un ensemble de tribus que l’émir Abd-el-Kader a poussé au soulèvement contre l’occupation française depuis le Maroc où il s’était réfugié.

La colonne Montagnac
Le colonel de Montagnac, commandant les troupes basées à Djemaa-Ghazaouet (à proximité de la frontière marocaine, à l’ouest d’Oran), part le 21 septembre à la nuit, avec pour objectif d’arrêter Abd-el-Kader dont un indicateur a priori fiable venait d’indiquer la présence à proximité.


L'Emir Abd-el-Kader, par Ange Tissier, 1852
Huile sur toile conservée au Musée de Versailles
Négligeant tous les ordres reçus de rester à la garnison, Montagnac et sa troupe vont tomber dans un véritable guet-apens. La colonne se composait de 355 officiers, sous-officiers et chasseurs, 65 officiers, sous-officiers et hussards, une ordonnance affectée au colonel Montagnac, deux hussards en charge des bagages des officiers, deux soldats du Train des équipages (en charge de la logistique de la colonne, du ravitaillement, des munitions, etc.) et un interprète. Au petit matin du 22 septembre, après une marche de 20 kilomètres, arrivés à proximité d’un petit village au pied du Djebel Kerkour, la colonne Montagnac installe son camp.
Parmi les hussards de Montagnac, un aullénois : Ange François Natali, né à Aullène le 24 octobre 1822. Communément appelé Angelin, il était le grand père d’Angelin et l’arrière grand-père de Olga Natali.

Angelin Natali - Vers 1900
(Carte postale ancienne)
Le 23 septembre au réveil, les hommes découvrent plusieurs centaines de cavaliers insurgés, luttant contre la colonisation française. Selon les sources, le nombre de cavaliers de l’émir est évalué de 5000 à plus de 10000. Montagnac va alors donner deux ordres : le premier, prendre un café et le second, monter à l’assaut !
Le colonel laisse quelques hommes, dont le hussard Natali, pour garder le camp et part à l’assaut des cavaliers, n’ayant pas prévu que derrière les crêtes, «une foule compacte», pour reprendre les mots d’Angelin Natali attend de sonner elle aussi la charge contre les Français.

Après deux heures de combat, tous étaient tombés. Trois officiers sur les quatre étaient morts, le quatrième, le commandant Courby de Cognord est blessé grièvement. Il est fait prisonnier et emmené au Maroc.
Des 82 prisonniers faits ce jour-là, onze reviendront en 1847, contre rançon, du Maroc, dont le commandant Courby.

Seuls restent alors la compagnie de carabiniers et le hussard Natali, commandés par le capitaine Géreaux et restés à la garde du camp. 83 hommes.
Le capitaine Géreaux donna alors l’ordre d’abandonner le camp et sur le conseil d’un des chasseurs, la petite troupe se réfugia dans un marabout situé à proximité : le marabout de Sidi-Brahim.
Dans le dénuement le plus complet (en fuyant le camp, les hommes avaient aussi abandonné le peu de vivres et des munitions qui leur restaient), ils se réfugient dans la petite enceinte fermée par un mur de pierres sèches.
Commence alors une résistance qui a duré trois jours et trois nuits : la bataille de Sidi-Brahim.

La bataille de Sidi-Brahim
Les hommes s’installent à leurs postes de combat de fortune, attendant toujours pour tirer que les hommes d’Abd-el-Kader soient très proches, pour ne pas risquer de gaspiller des munitions.


Les assiégés échangent plusieurs lettres avec les assaillants, sans ouvrir la porte, pour ne pas montrer leur dénuement. Abd-el-Kader va ainsi tenter par trois fois d’obtenir la reddition de ces hommes dont il pense qu’il en viendra facilement à bout.
Deux assauts violents plus tard, après des menaces et une promesse de garder leur vie sauve : rien n’y fait, les Français ne se rendent pas. Abd-el-Kader laisse donc deux à trois mille hommes à la garde du marabout, attendant que la faim et la soif fassent leur œuvre.
Pour essayer d’avertir d’autres régiments français, les hommes de Géreaux décident alors de fabriquer un drapeau de fortune avec un bout de cravate bleue de chasseur, un mouchoir blanc et un morceau de ceinture rouge. Le drapeau est accroché en haut d’un des deux figuiers de l’enceinte. Les hommes attendent une aide mais se préparent au combat : ils crénellent les murs et coupent leurs balles en morceaux pour avoir plus de balles à tirer.
Le 25, la faim mais surtout la soif commencent à torturer les hommes. Les assaillants n’attaquent plus vraiment, ils se contentent de garder le marabout. Tout le monde attend, la situation se fige.

Au matin du 26 septembre, n’espérant plus de secours, le capitaine Géreaux décide de quitter le marabout et de tenter de regagner la garnison de Djemaa-Ghazaouet.
Sortant du « fort », les Français commencent par attaquer à l’arme blanche un poste d’une quarantaine d’hommes affectés à la surveillance du marabout, en les surprenant pendant leur repas. Plusieurs hommes sont mortellement blessés pendant le trajet vers la garnison et c’est à ce moment là qu’Angelin est blessé, d’une balle à l’épaule gauche.

Arrivés sur une colline en face du fort de Djemmaa, les survivants seront encore attaqués par les habitants d’un village proche avec une frénésie impressionnante. Le combat était inégal entre la population et ces hommes exténués et à court de munitions qui ne peuvent plus qu’utiliser leur baïonnette sur les agresseurs qui s’approchent un peu trop.
Les Français ne durent alors leur salut qu’à trois coups de canon tirés du fort qui provoquèrent la fuite des attaquants.

Mobilisant leurs dernières forces, les 16 survivants de la colonne Montagnac partie trois jours avant, regagnèrent Djemmaa où ils furent accueillis par le médecin militaire.
Le bilan est lourd : sur les 427 hommes, seuls reviennent 16. Sur ceux-ci, cinq mourront dans les 3 mois à venir. Sur les 82 prisonniers, 11 reviendront. Soit un total de 22 survivants.
Et parmi eux, Angelin Natali.

Pour sa bravoure à Sidi-Brahim, Angelin fut nommé brigadier en mars 1846, chevalier de la Légion d’Honneur le 21 août suivant et maréchal des logis en 1848.

Nomination à l'ordre de la Légion d'Honneur d'Angelin - 21 août 1846
Document conservé aux Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
Côte LH/1975/80
Il fut libéré en 1849 et se retira à Aullène à cette date. Il mourut au village le 20 février 1904.
Les compagnons d’Angelin furent eux aussi décorés de la Légion d’Honneur.

A qui la faute?
Devant un tel bilan, il est évidemment tentant de chercher des responsabilités.
Il est clair que l’engagement personnel de Montagnac contre Abd-el-Kader est une des causes essentielles. Montagnac vivait la présence de l’émir comme une attaque personnelle, Il constate qu’à quelques encablures de sa garnison, Abd-el-Kader organise la résistance contre les Français, qu’il leur fait « les cornes et la grimace » écrit-il dans une lettre à son frère de mai 1845. Dans un autre écrit de la même époque, il avoue : « Je suis un peu trop fatigué de jouer le rôle d’huître, dans mon écaille de Djemmaa, il faut que j’en sorte. L’inaction me tue. »

Il semble que Montagnac rêva d’un coup de fortune. Mais il faut bien reconnaître que s’il avait réussi, il aurait été acclamé en héros et personne n’aurait mis le doigt sur sa guerre devenue trop « personnelle ». Comme l’écrit le lieutenant Paul Azan dans sa somme de 1905 sur Sidi-Brahim, « on pardonne au héros les fautes du chef » et sa mort héroïque a plongé dans l’ombre le caractère inexcusable de son expédition.

La déroute d’Abd-el-Kader
La défaite de Sidi-Brahim provoqua une forte émotion en Algérie car pour la première fois il était patent que la révolte était partout, que les Français étaient isolés au final dans le pays avec de grandes difficultés de communication entre eux mais aussi que les bases d’un Etat algérien avaient été jetées par Abd-el-Kader qui avaient une grande capacité à fédérer les tribus.
Le châtiment fut à la mesure de l’émotion et les Français redoublèrent d’efforts pour achever la conquête de l’Algérie, laissant un corps expéditionnaire de plus de 100000 hommes en 1846 et laissant carte blanche aux généraux pour lesquels les pertes humaines, de quelque côté que ce soit, n’étaient pas un problème.

« Les méthodes de guerre employées par Bugeaud, et notamment la pratique systématique des razzias, ont eu raison de la combativité des populations algériennes, privées d’une grande partie de leurs ressources par la destruction de leurs récoltes et l’enlèvement de leurs troupeaux » ( Cf. Jacques Frémeaux, « Abd el-Kader, chef de guerre (1832-1847) », Revue historique des armées [En ligne], 250 | 2008, mis en ligne le 06 juin 2008, consulté le 21 septembre 2013. URL : http://rha.revues.org/194).

Ainsi lassés de la guerre, les chefs de tribu abandonnèrent peu à peu Abd-el-Kader et ce dernier n’eut plus d’autres choix que de signer la reddition du 23 décembre 1847. C’est dans le marabout de Sidi-Brahim qu’Abd-el-Kader se rendit aux troupes françaises, accompagné d’une cinquantaine de ses hommes. Emprisonné à Toulon et assigné à résidence à Pau puis à Amboise dans la Loire, l’émir fut libéré par Napoléon III en 1852. Exilé en Syrie, il meurt à Damas en mai 1883.

Pour les bataillons de Chasseurs, Sidi-Brahim est un symbole, une sorte de seconde fête nationale. Il est aux Chasseurs ce que Camerone est à la Légion Etrangère.

Ce billet a été écrit grâce au travail du lieutenant Paul Azan « Récits d’Afrique – Sidi-Brahim », publié en 1905 aux éditions Henri-Charles Lavauzelle, et conservé à la Bibliothèque Nationale de France.
Il est consultable librement et téléchargeable sur la base Gallica de la BNF. Pour y accéder, cliquer ici.
Les citations des courriers du colonel Montagnac sont extraites de cet ouvrage.

Pour télécharger le témoignage d’Angelin tel qu’il est rendu public dans les annexes de l’ouvrage de Paul Azan : cliquer ici.

In memoriam > Stivanina Desanti et Sébastien Lucchini

Une pensée pour Stivanina Desanti tuée un 23 septembre et une pour son petit-fils Sébastien Lucchini, décédé des suites d'une chute de cheval un autre 23 septembre.




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[temps] Aullène > dégagé

Le ciel est bien dégagé ce matin et il fait 13°C.




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dimanche 22 septembre 2013

[temps] Aullène > beau et chaud

Quelques nuages hier, quelques nuages aujourd'hui et de belles journées. L'automne commence en douceur.





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[Notice Décès Remerciement] Aullène & Bastelicaccia & Bagnolet. Sénateur Marinette née Martini.


samedi 21 septembre 2013

[temps] Aullène > beau et chaud

On attendait de la pluie mais les nuages ne sont pas restés. Pour l'instant il fait beau et chaud.


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vendredi 20 septembre 2013

[Presse] Monacia d'Aullène. Pollution Marine.


[Nouvelles][Presse] Aullène. Film - Documentaire. Fred Scamaroni et Jean Nicoli.

Très prochainement sur vos écrans de télévision...
 Noter et diffuser l'information....A ne pas rater.....





Aullène > Jany Lucchini > messe anniversairr

Une messe sera dite à l'église d'Aullène  ce jour à 17 heures pour Jany Lucchini qui nous quittait il y a un an, bien trop tôt.



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[temps] Aullène > dégagé

Il fait 12°C et le ciel est dégagé (à cette heure-ci on voit les étoiles).



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jeudi 19 septembre 2013

[temps] Aullène > vent et nuages

Il y a toujours de vent, le ciel est chargé et la température est de 14° C.


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mercredi 18 septembre 2013

Aullène > beau

Le vent, qui a soufflé avec violence hier et dans la nuit, est tombé ce matin. Il fait 11°C et il y a quelques plumets de couleur rose dans le ciel.

La vue sur Tana hier matin :




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mardi 17 septembre 2013

[Presse] Aullène. Gymnastique.


Aullène > vent violent

Il souffle depuis hier soir un vent à décorner les  bœufs. La température est de 12°C ce matin.




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lundi 16 septembre 2013

Aullène > frais et humide

Il a bien plu hier après-midi et dans la nuit. Ce matin il fait 10°C, il y a quelques nuages et le sol est trempé.




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dimanche 15 septembre 2013

Aullène > journées du patrimoine > remerciements

Un grand merci aux enfants et aux adultes qui se sont déplacés pour participer très activement aux promenades commentées de samedi et dimanche organisées par la mairie d'Aullène.

Nous avons parlé de la fontaine et de la Marianne République qui la surmonte, nous avons parlé du "monument aux protestants" et du temple protestant, nous avons sonné la cloche, nous avons parlé de l'Aullène du néolothique, de l'Aullène de l'âge du fer, de l'Aullène médiéval, de l'Aullène des XVIe, XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles, nous avons parlé du casteddaru et des orii, nous avons parlé de la vie pastorale, nous avons parlé de la transhumance, nous avons parlé des luttes armées contre Bonifacio, nous avons parlé de l'établissement de Monacia d'Aullène, nous avons parlé des pierres des maisons et de la roche du sous-sol, nous avons parlé de l'école, nous avons parlé de la gendarmerie, nous avons parlé de l'aire d'Arghjola, de la céréaliculture, des séchoirs à châtaignes, des moulins et des fours, nous avons parlé de la poste, nous avons parlé des axes de communication, nous avons parlé des médecins, des pharmacies et du dispensaire, nous avons parlé de l'hippodrome, nous avons parlé du monument aux morts, nous avons parlé de la chapelle dédiée à Saint Antiochus, nous avons visité l'église dédiée à saint Nicolas et parlé de son histoire depuis le Moyen-Âge jusqu'à nos jours. 

On a laissé de côté plein de choses mais il y aura certainement d'autres occasions  d'en parler.



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Visite commentée

Merci Sophie pour ta disponibilité pour 2 jours de visite commentée sur notre beau village d'Aullène et ses trésors dans le cadre des journées européennes du patrimoine - pour un coup d'essai ce fut un coup de maître ! Pense à l'année prochaine !

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Aullène > tri sélectif

Les conteneurs du tri sélectif ont été installés à Aullène dans la semaine sur la route de zicavo et sur la route de Sartène. Ils sont opérationnels. Faites-en bon usage !






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Anniversaires

Bon anniversaire à Joseph et à Sepideh !



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Aullène > voilé

Ce jour il fait 14°C et le ciel est voilé. Hier il faisait 9°C et beau.



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samedi 14 septembre 2013

[notice décès remerciements] Quenza & Ajaccio & Aullène > Jean Camille Pietri



Aullène > Journées du patrimoine

Dans le cadre des "Journées européennes du patrimoine", la mairie d'Aullène vous invite à découvrir les trésors de la commune lors d'une promenade commentée à travers le village le samedi 14 et le dimanche 13 septembre. Le rendez-vous est à 9 heures à la fontaine centrale.

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vendredi 13 septembre 2013

[décès] Quenza & Ajaccio & Aullène > Jean Camille Pietri

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris hier la brutale disparition de Jean Camille Pietri.

Jean Camille repose au funerarium Piccheti à Ajaccio. Il sera inhumé samedi 14 septembre à Quenza où une messe sera célébrée à 17 heures.


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[temps] Aullène > beau et frais

9°C, ciel bien dégagé, pas de vent.


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jeudi 12 septembre 2013

[presse] [nouvelles] Aullène & Alta-Rocca & Levie & San Gavino di Carbini > Jean Nicoli & Fred Scamaroni


Tous les Aullènois sont cordialement invités à l'avant-première du documentaire Fr3 Corse Via Stella de Jackie Poggioli le 24 septembre 2013 à 18h30, Espace Diamant à Ajaccio.


70e anniversaire de la libération de la Corse sur ViaStella


Figures emblématiques de la Résistance corse, Jean Nicoli et Fred Scamaroni font l'objet d'une intense médiatisation, encore renforcée à l'heure du 70e anniversaire de la libération de l'île.

Ils sont si souvent évoqués que beaucoup s'imaginent savoir tout d'eux. Rien n'est plus faux. Des moments capitaux de leur existence restent très méconnus ou donnent lieu à des reprises éculées de récits hagiographiques construits depuis 1943.

Pour battre en brèche ces visions fossilisées, Jackie Poggioli a enquêté dans divers fonds d'archives, privées et publiques, civiles et militaires, en Corse, à Paris et à Rome. Outre des interviews de proches des deux martyrs et d'historiens insulaires, elle a également sollicité deux des plus éminents spécialistes de la Résistance française.

A travers un portrait croisé de Scamaroni et de Nicoli, son documentaire fait la lumière de façon inédite sur ces deux hommes d'exception, le gaulliste et le communiste, "celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas".

Au-delà de leurs origines sociales et de leurs options politiques opposées, au-delà de leur rapport très différent à l'identité corse, Jackie Poggioli met en exergue la passerelle méconnue entre leurs deux itinéraires : l'engagement antifasciste, dès le milieu des Années Trente, commun à celui qui est mort pour la France et la Croix de Lorraine, et celui qui a revendiqué, jusqu'à son dernier souffle, la Tête de Maure et le drapeau rouge.

[temps] Aullène > pluie

11°C, nuages noirs, vent et pluie. 


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Bon anniversaire Coralie !

Bon anniversaire à Coralie qui fête aujourd'hui son neuvième anniversaire. Déjà.

[nouvelles] Monacia d'Aullène > les "Journées européennes du patrimoine : visite d'un oriu voire de plusieurs orii


Vous aussi, vous pouvez venir découvrir notre patrimoine lors des "Journées européennes du patrimoine" des 14 et 15 septembre 2013 à Monacia d'Aullène avec l'association "Associu d'i Monacci" :


reportage TF1 sur les orii de Monacia d'Aullène avec "Associu d'i Monacci"


mercredi 11 septembre 2013

[temps] Aullène > pluie

Vent et pluie hier en fin d'après-midi et dans la nuit. Ce matin, ça souffle encore mais il y a de petits fragments bleus dans le ciel. Il fait 9°C.


Voilà maintenant une nouvelle, qui vous surprendra certainement, et sur laquelle les colchiques recouvrant le sol au-dessus de San'Quilicu (sur les crêtes) sont formelles : c'est la fin de l'été.



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mardi 10 septembre 2013

Monacia d'Aullène > Journées européennes du patrimoine > A casa di Roccapina

A casa di Roccapina organise des expositions et des ateliers pour les "Journées européennes du patrimoine". Associu d'i Monacci y participera en exposant ses travaux sur les orii de Monacia.

Aullène > Journées européennes du patrimoine > visites commentées

La mairie d'Aullène, dans le cadre des "Journée européennes du patrimoine", vous invite à découvrir les trésors du village durant les visites commentées du samedi 14 et du dimanche 15 septembre.

Le rendez-vous est à 9 heures à la fontaine centrale d'Aullène le samedi 14 et le dimanche 15.

lundi 9 septembre 2013

vendredi 6 septembre 2013

Propriano > atelier de poterie

Il ne s'agit pas ici d'Aullène mais de Pierrette qui travaille la terre et les pigments à Propriano. 

Cette artiste, formée à la fameuse école de poterie de Bolbec, maîtrise avec une bonne constance la difficile production de la couleur rouge et sait tourner ses pièces avec une belle régularité. Il est dur de sortir de chez elle les mains vides mais, si votre budget est réduit ou votre sac déjà plein, vous pourrez toujours vous offrir une pendeloque fabriquée selon la technique du "raku". Il y a toutefois beaucoup mieux : si vous disposez d'un peu de temps, vous pourrez prendre un cours et repartir avec votre œuvre !





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Aullène > rentrée

Il est tombé quelques gouttes ce matin, comme pour saluer la rentrée des classes des enfants du regroupement scolaire Aullène-Serra-Sorbollano-Quenza.


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dimanche 1 septembre 2013

|Presse] Aullène & Alta-Rocca & Serra di Scopamène. Promenades à dos d'Ane.


Propriano & Aullène & Sorbollano > chant lyrique

L'église de Propriano accueillait hier soir la soprano Patricia Mangion, la mezzo soprano Nathalie Vincenti, le ténor Jean-Francois Marras et le ténor Matthieu-Joseph Nobili accompagnés de la pianiste Emilie Fairy.

Ils nous ont ravis de leurs interprétations d'une très haute tenue de grands classiques du répertoire lyrique. 

La soirée a été riche en émotions que les cinq artistes ont su véhiculer avec beaucoup de grâce et de fraîcheur, créant un lien chaleureux avec leur public irrésistiblement conquis par tant de passion. Le notable duo des ténors sur "O sole mio" a transporté l'audience mais le final à quatre voix sur le "Salve regina" a, littéralement, soulevé l'audience.

Merci encore !




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[presse] Aullène > association "P'tit Louis" > remerciements

Merci aux différents organisateurs de cette belle fête qui se reconnaitront aisément.